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Dominique Henri Laffont, retraité de l'administration publique, fait, dans cet entretien, un descriptif de la vie autour du lavoir à Esquièze-Sère.
[00.00.00] Localisation du lavoir
[00.00.28] Construction du lavoir sur l'emplacement d'un ancien abreuvoir
[00.01.35] Nécessité de construire un lavoir car les femmes lavaient le linge dans les ruisseaux
[00.02.06] Question de salubrité publique – interdiction par le maire de laver le linge dans le ruisseau
[00.02.26] L'eau servait à faire marcher des moulins
[00.03.24] Le lavoir a servi un centaine d'année à partir de 1890
[00.03.47] M. Laffont évoque des souvenirs d'enfance, le lavoir un lieu de sociabilité féminin (discussions en patois autour des lavandières, les ragots du coin, etc.)
[00.04.35] L'arrivée des machines à laver au milieu du XXe siècle et de l'eau courante dans les granges ; le lavoir et l'abreuvoir ne servent plus
[00.05.05] Transformation de l'abreuvoir et du lavoir en garage pour les camions de la commune
[00.05.35] Le lavoir est refait dans les années 80-90
[00.05.50] Découverte d'un ancien abreuvoir de 1860 pendant les travaux
[00.06.25] Transformation en un lieu culturel (visites)
[00.07.45] Règlements de compte au lavoir ; canalisation de l'eau ; servitude et bénéfice de privilèges (non-paiement de l'électricité)
[00.10.30] Les eaux d'Esquièze omniprésentes, les habitants sont surnommés « ceux qui ont des barques »
[00.10.42] Interdiction du maire, sous peine d'amande, de laver son linge dans le ruisseau
[00.12.40] Le nombre de femmes au lavoir et son occupation
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- Témoignage de Dominique Henri Laffont