Anomalies et lacunes

Les documents numérisés ne s’affichent pas sur votre ordinateur

Il vous faut vérifier la compatibilité de votre navigateur : la visionneuse permettant d’afficher les images de documents de notre site est en effet compatible avec les navigateurs Google Chrome, Firefox, Microsoft Edge et Safari.

Sur Internet Explorer 8, les outils de contraste et luminosité seront inopérants. 

Pour les appareils utilisant un système d’exploitation IOS, le navigateur Safari est également supporté. Pour ceux utilisant le système Android, Google Chrome est compatible.

Des anomalies dans les archives en ligne ?

Si vous constatez une erreur dans la mise en ligne des documents (par exemple : une inversion d’images, une page manquante ou illisible, une vue floue ou encore une discordance entre le nom de commune et les images visionnées…), vous pouvez la signaler en cliquant sur l’icône située sur le bandeau supérieur du visualiseur.

Nous tiendrons compte de votre message lors de nos futures opérations de numérisation complémentaires. Sachez toutefois qu’en fonction de la nature de l’erreur, la correction apportée peut être liée à une opération de reprise longue et complexe. Il ne nous est donc pas possible de vous donner une date de mise en ligne des corrections. Nous vous laissons donc le soin de vérifier par vous-même de manière régulière si celles-ci ont été opérées.

Des documents introuvables en ligne sur notre site ?

Pour les besoins de votre recherche, vous souhaitez consulter des archives particulières telles que l’état civil postérieur à 1892, des minutes notariales ou encore une documentation relative à une succession, mais vous ne le trouvez pas en ligne. Deux raisons peuvent principalement expliquer cette situation.

Les archives recherchées sont mises en ligne sur un autre site internet

Les registres paroissiaux et d'état civil de Tarbes sont accessibles depuis le site internet des Archives municipales de Tarbes.

Les archives recherchées ne sont pas numérisées

Rappelons que les Archives départementales des Hautes-Pyrénées conservent plus de 19 km linéaires de documents d’archives et qu’une infirme partie d’entre eux est numérisée, fruit d’un important travail de préparation et d’un effort financier du Département.

Pour prendre connaissance des documents accessibles en ligne, reportez-vous à la rubrique Archives en ligne.   

Pour le reste des archives, seule une consultation des documents sous leur forme originale est possible en salle de lecture des Archives départementales.

Parmi les archives en ligne, des lacunes sont recensées

Des lacunes parmi les registres paroissiaux ?

L'ensemble des registres paroissiaux conservés par les Archives départementales a fait l'objet d'une campagne de numérisation et été mis en ligne. Si des années sont en lacune pour une commune, cela signifie que nous ne conservons pas les registres couvrant la période recherchée.

Des manques au sein de l'état civil de la période révolutionnaire

Suite à l'incendie de la Préfecture des Hautes-Pyrénées survenu dans la nuit du 2 au 3 décembre 1808, de nombreux documents d’archives ont été détruits. Les archives de la période révolutionnaire ont été notamment particulièrement impactées générant ainsi d’importantes lacunes dans les fonds de l’état civil (2 E 2 et début du 2 E 3), comme l'atteste ce document.

Tenant compte de cette situation, tous les actes d'état civil de la période révolutionnaire de la collection départementale sont aujourd'hui accessibles en ligne. Cet ensemble de documents reste assez disparate et lacunaire, comprenant aussi bien des actes d'état civil et des tables décennales postérieures à la période révolutionnaire que des extraits d'actes que l'on a mis en évidence par une typologie spécifique « Acte épars d'état civil ».

En outre, les mariages de l'an VII et de l'an VIII étaient célébrés au chef-lieu de canton et donc retranscrites dans le registre du chef-lieu de canton. Pour en faciliter l'accès, nous avons indexé tous ces mariages à la commune de rattachement.

Des registres d'état civil postérieurs à 1892 introuvables ?

Concernant la mise en ligne des registres d'état civil postérieurs à 1892, les Archives départementales ont privilégié les registres issus de la collection communale dans la mesure où elle s’avère plus complète en termes de mentions marginales. Cette démarche a nécessité la mise en place d'une vaste opération de collecte temporaire des registres encore conservés en communes. Certaines d'entre elles n'ont toutefois pas fait le choix de nous confier leurs registres : cette situation peut donc expliquer que le chercheur ne trouve pas, pour plusieurs d'entre elles, d'actes d'état civil postérieurs à 1892. Retrouvez la cartographie des registres d'état civil postérieurs à 1892 dans la rubrique Accès thématique puis Les registres d'état civil.  

Pour rappel, ont été numérisés les registres d’état civil pour la période de 1893 à 1925. La mise en ligne est échelonnée en fonction des délais légaux de diffusion : 100 ans pour les naissances, 75 ans pour les mariages et 50 ans pour les décès.

Pour certaines communes, la numérisation a toutefois été prolongée jusqu’en 1929 pour les mariages et décès quand la structuration des registres le permettait. Pour les communes disposant de registres différents pour chaque type d’actes, la numérisation a même été portée jusqu’en 1950 pour les mariages et 1970 pour les décès ; cela concerne Aureilhan, Castelnau-Magnoac, Ibos, Lannemezan, Luz-Saint-Sauveur, Maubourguet, Ossun, Pierrefitte-Nestalas, Rabastens, Trie-sur-Baïse, Vic-en-Bigorre et Vielle-Adour.

Des recensements de population introuvables ?

L’ensemble des listes nominatives de population conservées par les Archives départementales a été numérisé et mis en ligne jusqu’en 1975. Au cours de vos recherches, il est cependant possible que vous ne trouviez pas à certaines dates, la liste nominative de la population d’une commune.

Instaurés à partir de 1836, les recensements sont, à l’instar des registres d’état civil, établis en double exemplaire : l’un était conservé par la préfecture, l’autre par la commune concernée. L’ensemble de ces documents finit par être confié aux Archives départementales.

Malheureusement, la collection préfectorale est lacunaire avant 1872 ainsi que pour les années 1891, 1896, 1901 et 1906. Ces lacunes sont également multiples pour la période 1946-1975. Ainsi, pour l'année 1946, les Archives départementales conservent les listes nominatives pour 25 communes seulement provenant de l'INSEE.

A ces lacunes qui touchent l’ensemble des communes du département, s’ajoutent celles qui frappent les communes de l’arrondissement d’Argelès-Gazost pour les années 1911 et 1921.

Tous ces manques peuvent néanmoins être palliés par la collection communale. Toutefois, d’une commune à l’autre, la conservation de ces listes nominatives s’avère également inégale : il se peut donc qu’un chercheur dispose d’une collection de recensement complète entre 1836 et 1911 pour une commune et d’une collection extrêmement lacunaire pour la commune voisine. Le dépôt des listes nominatives postérieures à la Deuxième Guerre mondiale par les communes reste également rare : celles-ci sont encore le plus souvent en mairie.

Notons enfin que seules les listes établies jusqu’en 1946 sont accessibles sur notre site. Conformément aux recommandations de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) concernant la diffusion des données à caractère personnel sur internet, les listes de recensement de population de moins de 75 ans ne peuvent être diffusées en ligne. Pour la période 1954-1975, il est donc normal que celles-ci n’apparaissent pas sur notre site, ces listes restant consultables uniquement en salle de lecture des Archives départementales.